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Sang Froid (Version écrite)


Max La Menace

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BONSOIR à toutes et tous !

Je vous présente ici la version écrite du scénario de mon machinima "Sang Froid". Et non, ce n'est pas un poisson d'avril ! :3

Pour ceux qui ne voudraient pas connaître l'histoire, je vous invite à quitter immédiatement ce topic, merci de votre compréhension, et bonne lecture ! :wink:

Sang Froid
Par Max La Menace et Ben La Terreur

Partie 1
Synopsis

Citation

« Charles, Commissaire de la Police Nationale, apprend par son collègue que son fils s'est fait assassiné... Il rêve de le venger et traque le criminel recherché pour de nombreuses folies meurtrières... Cette fois, il va être obligé de remuer Ciel et Terre en trouvant des indices pour résoudre beaucoup d'énigmes et démêler le vrai du faux afin de trouver le véritable coupable. Il va devoir garder son sang-froid... »

Chapitre 1 : Le crime

C'était une journée comme les autres pour Antoine, le fils de Charles mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'en quittant son bureau de journaliste, quelqu'un l'observait du coin de l'oeil, faisant semblant d'être assis sur un banc en attendant quelqu'un. Lorsqu'il franchi la porte d'entrée, cet homme lui emboîta le pas de vive allure. Au moment où il se porte au contact d'Antoine (dans une petite ruelle sombre peu fréquentée), il l'interpelle en lui demandant l'heure. Antoine se retourne, car la voix grave et métallique de l'individu lui semblait louche et fut frappé de stupeur lorsqu'il aperçu son visage : un immense crâne ornait un masque. Il n'eut même pas le temps de dissimuler tous les traits du masque, qu'il senti la lame glaciale d'un poignard aiguisée transpercer sa nuque. Il étouffa un cri d'épouvante mais il n'avait pas assez de force : aucun son ne sortait de sa bouche. Il déposa une petite carte près du corps inerte. Il était écrit avec du sang « C'est le début d'une longue liste, Masque Noir »

Chapitre 2 : La découverte

Charles apprend par un collègue de son fils qu'il ne s'est plus présenté depuis 3 jours à son poste de travail et qu'il ne répond plus au téléphone. Son père, qui n'est pas vite inquiet pense qu'il est malade mais le fait qu'il ne réponde plus au téléphone l'intrigue quand même et veut vérifier ça par lui-même. Soudain, il entend le bruit de son téléphone portable qui sonne et voit que c'est son fils qui l'appelle. Sans même que son interlocuteur ait dit un mot, il aboie « Antoine, qu'est ce que tu fais bordel, tout le monde est mort d'inquiétude ! », deux ou trois secondes s'écoulent sans que rien ne se passe. Alors il poursuit : « Antoine, tu es sûr que ça va ? » Toujours rien « Antoine BORDEL REPONDS !! », à cet instant, il entend une voix grave et métallique articulant très clairement : « Bonsoir, commissaire ! »

Chapitre 3 : Les lieux du crime

L'assassin ayant parlé assez longtemps, la police a réussi a localisé l'appel. Il provenait d'un quartier mal famé non loin du lieu d'activité d'Antoine. Charles ordonne a toutes les unités de boucler le secteur car il pense que cet homme est la cause de plaintes de diverses personnes les jours précédents. Il en déduit donc qu'il a affaire a un tueur en série et que ça ne va pas être facile. Il envoie les voitures de polices, les hélicoptères, les unités SWAT… Le meurtrier rappelle Charles et cette fois, c'est lui qui parle le premier : « Si tu veux un jour revoir ton pauvre fils, je te conseille de bien faire tout ce que je vais te dire ». Pendant ce temps, les forces de police ont encerclé le bâtiment d'où provenait l'appel et Charles est à son pied. Il répond : « Écoutez, nous sommes au pied de l'immeuble duquel vous nous parlez actuellement, il ne vous sera fait aucun mal si vous vous rendez. » Il répond « Ne fais pas le mariole avec moi, j'ai ton fils en otage, c'est moi qui commande ici. Tu m'as bien compris ? » Charles rapplique, à la grande stupéfaction de tous les agents de police : « Donnez-nous l'otage et nous vous donnerons la possibilité de partir ! » Le tueur répond, d'un air narquois : « Tu le veux ? Très bien, je te le donne ! » Il lança le cadavre du haut du 3ème étage. Son cadavre, froid comme la glace, s'écrasa au pied de Charles. Ce dernier laissant tomber son téléphone en hurlant comme un possédé. Il ordonne à ses troupes : « Il est au troisième étage, pénétrez dans le bâtiment, et ramenez-le moi vivant ! Il ne paie rien pour attendre ! » Pendant que les unités SWAT pénètrent dans le bâtiment, il s'effondre au chevet de son fils. Son acolyte Victor vient près de lui pour le soutenir moralement. Charles entend dans son talkie-walkie : « Chef, la situation nous échappe, il a pris la poudre d'escampette en volant l'un de nos hélicoptères. 

Chapitre 4 : L'autopsie

Après l'analyse post-mortem du cadavre, on annonça à Charles que son fils était déjà mort bien avant que les forces de police n'interviennent. On estime sa mort depuis à peu près 4 jours. Cette nouvelle, rendit Charles encore plus dépité. Le meurtrier venait de berner toute la police… En outre, ils ne disposaient d'aucune piste sérieuse hormis l'hélicoptère qu'ils avaient retrouvés dans un champs en feu. L'assassin pouvait être n'importe où. De plus, les forces de l'ordre n'avaient pas eu l'occasion de voir le visage du meurtrier, donc il était pour le moment impossible de donner son signalement.

Chapitre 5 : La folie meurtrière

Plusieurs meurtres aussi sombres que le premier furent commis par le prénommé « Masque Noir » alors que les seuls précautions prises par les forces de l'ordre ont été de doubler le taux d'agents en patrouille. La situation semblait désespérée et s'empirait de jour en jour. Tout à coup, un agent fit irruption dans le bureau du commissaire et s'exclama : « Patron, nous avons une piste sérieuse ».

Partie 2

Chapitre 1 : La piste

L'acolyte rentre dans le bureau et dit « Commissaire, nous avons une piste sérieuse ! » Le matin même, la police avait retrouvé trois cadavres avec des cartouches de sniper incrustés dans les armures. Après analyse, elle avait su que cette cartouche appartenait à un certain fusil Sniper de classe « M21 ». Il n'y a qu'une seule armurerie où l'on vend ce type d'armes. Charles demande donc à son acolyte de l'accompagner jusqu'à l'armurerie où ils cuisineraient le vendeur. 

Chapitre 2 : L'embrouille 

Arrivés à l'armurerie, Charles et son acolyte descendent calmement de leur voiture, entrent dans le magasin et lui présentent leur badge de la police. Ils commencent à lui poser quelques questions et voient qu'il a l'air louche, embarrassé. Il dit qu'il va chercher des preuves dans son arrière-boutique et qu'il revient. Mais Charles se rend compte qu'il prend la poudre d'escampette par la porte de derrière. Commence alors une course poursuite. 
L'acolyte appelle du renfort pour intercepter le suspect. Une voiture de police arrive et lui bloque la route. Sauf qu'il dévie de sa trajectoire et prend une petite ruelle adjacente. Charles a prévu le coup et l'attend de l'autre côté : il est cerné. 

Chapitre 3 : L'interrogatoire

L'armurier est assis dans une salle carrée, à une table où la police lui pose des questions. Il reste muet au début. Puis, Charles perd le contrôle de ses nerfs et lui mets une droite. L'armurier rigole car, même si il s'est mangé une de ces droites, pour lui, c'est une réussite que de s'être fait frappé par un flic. Il finit par donner le nom de deux clients qui lui achètent couramment des munitions de « M21 ». 
La police décide de se séparer en deux : une équipe d'intervention menée par Charles, une équipe menée par l'acolyte. 

Chapitre 4 : Double intervention

Les forces de l'ordre décident de mener une perquisition simultanée aux deux endroits. L'équipe B (menée par l'acolyte) arrive dans un appartement vide tandis que l'équipe A (de Charles) arrive dans un appartement habité par une personne banale, à qui ils posent quelques questions. Charles finit par comprendre que ce n'est pas un assassin ou un hors-la-loi, à qui il parle. L'équipe A rejoint donc l'équipe B pour fouiller l'appartement vide. Un agent de police sur les lieux remarque un agenda ouvert à la date où le fils du commissaire s'est fait tué et voit… une photo du fils… barrée. Charles décide alors de faire évacuer tout le quartier, de faire des recherches dans toutes la Région : il en fait l'affaire prioritaire numéro 1. En tournant les pages de l'agenda, on voit d'autres photos de personnes mortes dans les jours précédents. Et… en tournant la page on voit que la prochaine cible est… Charles lui-même. 

Chapitre 5 : Élaboration complexe

Savoir que des gens veulent notre mort n'est pas tout à fait rassurant, effectivement. Mais Charles sait que ce sont les assassins qui viendront à lui. Donc, il demande d'avoir deux gardes-du-corps en permanence. Son objectif : aller à son lieu de travail comme si de rien n'était, laisser entrer les assassins, et, quand ils sont à l'intérieur, les encercler et leur passer les menottes. Le lendemain, jour où, selon les assassins, il devait mourir, la première partie du plan fonctionne : il est assis das son bureau, deux gardes du corps près de lui. Après 2 heures d'attente, les gardes postés à l'entrée du bâtiment communiquent par radio que deux individus louches sont rentrés. Charles leur ordonne de passer à l'action. A cet instant, tous les policiers présents sortent leur arme et pointe les deux individus. Ceux-ci ne comprennent rien : la police s'est foutue le doigt dans l'oeil, ceux-là sont innocents, ils ne sont même pas armés ! Soudain, une explosion retentit dans toute la ville ! Le bureau du commissaire vient d'exploser ! « Commissaire ?! Commissaire ?!! » Les deux gardes du corps présents dans le bureau n'ont rien pu faire : ils sont morts, et aucune trace de Charles. 

Chapitre 6 : Sang Froid

Charles se réveille dans le Canyon Trainée de Sang, où son fils est mort. Il aperçoit le tueur devant lui, mais remarque qu'il a été désarmé. Le tueur lui dit : « Alors ce traitre d'armurier vous a révélé mon existence… pathétique. On ne peut faire confiance à personne. Cependant, mon plan semble ne pas avoir été nuits d'une quelque façon, ce qui, à mon sens, semble élémentaire. » La seule chose que le tueur n'avait pas prévue, c'est que Charles avait placé un mouchard sur lui, et que les forces de police encerclaient la zone, prêtes à intervenir. Charles, n'ayant pas connaissance du fait que la police est prête à lui venir en aide, pense que tout est fini, et demande simplement au tueur de l'achever, qu'il aille rejoindre son fils. « Seulement ? Je suis déçu. Tu es aussi ridicule que ton fils apparemment. Tu ne me demandes pas quels sont mes objectifs ? Pourquoi j'agis comme cela ? Pourquoi… pourquoi je ressemble à ça ? Ou est passé ton esprit policier, Charles X (X= nom de famille à définir) ». Charles réplique : « A quoi bon connaître toutes ces choses si c'est pour mourir après ? Mourir, c'est sombrer dans l'oubli. Mourir, c'est oublier. De toute faç… » A cet instant, des exposions de grenades assourdissantes et de fumigènes se font entendre ! La police se décide enfin à intervenir ! L'assassin court se réfugier dans la salle d'accueil du bureau de journalisme et se munit d'un fusil d'assaut. Il ouvre le feu. Pendant ce temps, l'acolyte court au chevet de Charles et lui demande si tout va bien. C'est là qu'il reprend vraiment ses esprits : « Il ne nous échappera pas, cette fois ! Il est fait comme un rat. Encerclez le bâtiment ! Unités aériennes, occupez vous de contrôler s'il ne s'échappe pas par une quelconque issue. Vous, vous venez avec moi, nous investissons le bâtiment »hurle-t-il pour motiver ses troupes. Tout se joue très vite, car ce n'est pas la police qui doit intervenir, mais c'est le tueur qui sort en tirant sur Charles et en hurlant «Que le sang du commissaire ruisselle dans l'... » Il est abattu par absolument toutes les forces de police. Son corps est criblé de balles. Mais le commissaire est tombé, et gravement blessé…

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